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Vu de près. Le caribou montagnard de la Gaspésie en images, par JC Lemay

LE DÉCLIN ET LES CAUSES [1]

Au début des années 1950, la population de
caribous de la Gaspésie comptait de 700 à 1 500 individus. Au cours des années
80, elle était d’environ 250 individus. En octobre 2009, lors du dernier
inventaire, la population était estimée à entre 134 et 182 caribous. Je ne
pense pas avoir besoin de te faire un graphique pour que tu voies le déclin
majeur qui s’est réalisé en 60 ans!

Les pertes d’habitat causées par l’exploitation
forestière et minière (interdites dans le parc depuis 1981, merci SEPAQ) et par
des incendies de forêt ont aussi contribué à la diminution de la population. Important
de noter par contre que les coupes forestières sont autorisées en périphérie du
Parc, et que tout récemment, de sérieuses interventions ont été réalisées entre
autres sur le mont Blanche Lamontagne. Enfin, la prédation par l’ours et par le
coyote sur les faons est actuellement une très grande cause du déclin. En fait,
la déforestation a créé un milieu favorable à ces prédateurs, et c’est le
caribou qui écope.

Ce n’est pas souvent qu’on est si proche de nos sujets. Ce moment rare a été capturé par photographe extraordinaire, JC Lemay. #throwback

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Yukon Wildlife Series by Juliana Balluffi-Fry

Coyote in Summer Snowfall. This photo was, surprisingly enough, taken in June during an untimely snowfall in the south of the territory. Pictured is a small female coyote, who likely had a litter at the time, but still took a break during her day to play in the unexpected snow.


Juliana graduated in 2017 from an undergraduate degree in Environmental and Wildlife Biology at McGill University, after which she spent the summer as a field technician in Kluane, Yukon for McGill research helping collect data on red squirrels and snowshoe hares. Now she is a master’s student at Memorial University of Newfoundland studying the role of ecosystem nutrients on both moose and snowshoe hares. You can find more of her photography on Flickr.

Happy June everyone! Imagine getting a dump of the cold stuff today? Throwback to this coyote enjoying a roll around in the June Yukon snow, courtesy of McGill alum Juliana Balluffi-Fry #tbt

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La réserve de Yasuní en images, par Vincent Fugère

Karlita. Karla, une femelle tapir semi-apprivoisée rodant aux abords d’une des stations de recherche du parc. Son prénom lui a été donné par la communauté autochtone Huaorani, en l’honneur d’une jeune fille décédée le même jour où Karla est née. Les Huaoranis croient que l’âme de Karla habite maintenant le tapir et s’abstiennent donc de la chasser.

Cette histoire de Karlita est une belle représentation des connexions entre un communauté et leur faune. #tbt

Vue microscopique sur la faune du sol, série photo par Laura
J. Raymond-Léonard
et Pierre-Marc Brousseau

Les
allures trompeuses. 
Sous
son air attachant, ce Platygastridae camoufle son mode de vie peu
amical. Cette guêpe parasitoïde pond ses œufs au détriment de la
vie de son hôte en s’attaquant à celui-ci au début de son stade
de vie. En effet, ces guêpes se développent dans les œufs ou les
larves d’autres insectes puis émergent lorsque leur hôte a
atteint le stade pupal l’empêchant à tout jamais de devenir un
adulte.


Laura J. Raymond-Léonard a complété sa maîtrise et est
présentement assistante de recherche dans la laboratoire de Tanya
Handa à l’UQAM, où travaille également Pierre-Marc Brousseau
comme post-doctorant. Ils partagent un intérêt commun pour
l’écologie des communautés d’invertébrés et passent
conséquemment beaucoup de leur temps au microscope… aussi bien
prendre des photos!

Vue microscopique sur la faune du sol, série photo par Laura
J. Raymond-Léonard
et Pierre-Marc Brousseau

L’acarien
qui se prenait pour un porc-épic.
Gozmanyina
majestus

porte bien son nom. Cet acarien oribate possède des poils érectiles
sur son dos qu’il peut ériger afin de faire fuir ses prédateurs.
Cette adaptation morphologique lui donne sans aucun doute une allure
imposante et… majestueuse !


Laura J. Raymond-Léonard a complété sa maîtrise et est
présentement assistante de recherche dans la laboratoire de Tanya
Handa à l’UQAM, où travaille également Pierre-Marc Brousseau
comme post-doctorant. Ils partagent un intérêt commun pour
l’écologie des communautés d’invertébrés et passent
conséquemment beaucoup de leur temps au microscope… aussi bien
prendre des photos!

Vue microscopique sur la faune du sol, série photo par Laura
J. Raymond-Léonard
et Pierre-Marc Brousseau

Neanura
muscorum
.
Voici
Neanura
muscorum
,
une espèce de collembole très charismatique de par sa couleur mauve
vibrante, ses très longues soies corporelles et son allure potelée.
Si vous portez bien attention, on remarque même plusieurs petits
points mauves recouvrant son corps : il s’agit de la
granulation de sa cuticule. Les Neanuridae se distinguent des autres
familles en étant perceurs-suceurs (et non pas mâcheurs) :
leur morphologie mandibulaire particulière permettrait entre-autres
à certaines espèces de s’attaquer à des œufs d’autres
espèces ! [Crédit photo: LJRL]


Laura J. Raymond-Léonard a complété sa maîtrise et est
présentement assistante de recherche dans la laboratoire de Tanya
Handa à l’UQAM, où travaille également Pierre-Marc Brousseau
comme post-doctorant. Ils partagent un intérêt commun pour
l’écologie des communautés d’invertébrés et passent
conséquemment beaucoup de leur temps au microscope… aussi bien
prendre des photos!

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