Vue microscopique sur la faune du sol, série photo par Laura
J. Raymond-Léonard et Pierre-Marc Brousseau
Tant mieux pour eux, tant pis pour nous! Ces
petites écailles recouvrent le corps de plusieurs espèces de
collemboles, leur donnant une jolie iridescence. Toutefois, elles se
détachent facilement, fort probablement pour permettre aux
collemboles de fuir leurs prédateurs. Malheureusement pour nous, la
position corporelle précise des écailles est un critère
taxonomique pour différencier certaines espèces ! Il est donc
parfois difficile de distinguer l’absence de la chute d’écailles
et d’identifier avec certitude nos individus. [Crédit photo: LJRL]
Laura J. Raymond-Léonard a complété sa maîtrise et est
présentement assistante de recherche dans la laboratoire de Tanya
Handa à l’UQAM, où travaille également Pierre-Marc Brousseau
comme post-doctorant. Ils partagent un intérêt commun pour
l’écologie des communautés d’invertébrés et passent
conséquemment beaucoup de leur temps au microscope… aussi bien
prendre des photos!
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